Publié le 29 Mars 2018

Rédigé par aragon 43

Publié dans #CGT, #Retraites

Repost0

Publié le 29 Mars 2018

LE JARGON PATRONAL OU PLUTOT DES MOTS CHOISIS IDEOLOGIQUEMENT POUR DOMINER

Je me suis fait un petit mémoire de quelques expressions qui peuplent les commentaires de nos éditorialistes de l’idéologie dominante.

Particulièrement de ces experts patentés qui apporte leur science au public télévisuel ou audiovisuel mais aussi en matière de presse écrite.

Je vous en livre brièvement le contenu :

Pour démolir le statut des cheminots : la SNCF a besoin de modernité ;

Ce qui compte pour l’emploi aujourd’hui, c’est la mobilité ;

Il faut que l’emploi révèle de manière rentable son efficacité ;

L’organisation du travail doit codifier la meilleure profitabilité ;

Par contre jamais ces experts ne nous parle de celui qui est exploité ( mot banni)

Le travail libéré est superbement ignoré et l’on parle plutôt de la liberté du travail et d’otages lors des grèves.

Et puis nous avons le mot égalité nié par le mot patronal d’équité dont le sens vise des notions de justice naturelle et d'éthique de ce qui est dû à chacun ; l'équité permet  alors une discrimination ... le code Macron en est l’expression

Et puis enfin le mot revenu pour ne pas parler du mot cupidité que jamais nos experts et éditorialistes qui polluent nos écrans n’emploient

Bernard LAMIRAND

Voir les commentaires

Rédigé par aragon 43

Publié dans #MEDIAS

Repost0

Publié le 25 Mars 2018

Rédigé par aragon 43

Repost0

Publié le 23 Mars 2018

Un document à étudier et utile pour contrer ceux qui nous disent chaque jour que nous sommes des privilégiés et des nantis.

Vous y trouverez dans ce document toute la palette des profiteurs.

Bernard LAMIRAND

Voir les commentaires

Rédigé par aragon 43

Publié dans #CAPITALISME, #ECONOMIE

Repost0

Publié le 23 Mars 2018

22 MARS

Une mobilisation puissante qui appelle des suites !
jeudi 22 mars 2018

La réussite de la journée unitaire de mobilisation dans différents secteurs professionnels (Fonction Publique, Cheminots, Énergie, Transport, etc.) s’est traduite par plus de 180 rassemblements et manifestations partout en France, regroupant plus de 500 000 manifestants dans les rues.
Tous et toutes ont marqué, aussi par la grève, leur attachement aux services publics.
Contrairement aux choix gouvernementaux de régression sociale, ils ont exigé le développement des services publics et les moyens nécessaires à l’exercice de leurs missions, le renforcement de leurs statuts et conventions collectives.
Le gouvernement poursuit sa politique de régression sociale. Il continue notamment à supprimer des milliers de postes dans la fonction publique, à privatiser les entreprises publiques, à mépriser les salariés et les retraités par l’abaissement généralisé de leurs salaires et de leurs pensions. En même temps, il multiplie les milliards d’euros de cadeaux aux actionnaires et montre ainsi son véritable visage en étant au seul service du capital et des plus riches.
Sourd aux propositions du monde du travail, le gouvernement fait le choix de la confrontation sociale !
Le gouvernement doit entendre l’exigence sociale, il doit prendre la mesure des oppositions à sa politique et prendre en compte les alternatives portées notamment par la CGT.
La CGT appelle les travailleurs, les privés d’emploi, les retraités et les jeunes à prendre leur avenir en main, à construire leurs revendications et à agir dans l’unité syndicale la plus large pour imposer le progrès social.
C’est dans cette démarche et dans la recherche de convergence des luttes que la CGT propose l’organisation d’une journée nationale de mobilisation interprofessionnelle le 19 avril prochain.
Ce sera l’occasion de porter les revendications sur le pouvoir d’achat (salaires, pensions, minima sociaux), l’emploi et la protection sociale, les services publics et les droits collectifs.

Montreuil, le 22 mars 2018

 
  • facebook
  • Google bookmarks
  • Netvibes
  • Twitter
  • Yahoo! Bookmarks

Voir les commentaires

Rédigé par aragon 43

Publié dans #CGT, #LUTTES

Repost0

Publié le 21 Mars 2018

L’extrême droite n’a pas sa place ni dans les cortèges syndicaux

Ni nulle part ailleurs !
mercredi 21 mars 2018

L’exigence de justice sociale qui s’exprime partout en France, face à la multiplication des attaques du gouvernement aux ordres du patronat, appelle à la mobilisation massive des salariés, des agents de la fonction publique et des services publics, des retraités, des privés d’emploi et de la jeunesse.

C’est dans ce contexte que du « Front National » aux « Patriotes », en passant par différents mouvements favorables au « Frexit », des organisations identitaires, xénophobes et racistes se travestissent en pseudo-alliés et soutiens des travailleurs en lutte.

Leurs ambitions politiques sont en totale opposition avec nos valeurs, notre aspiration de transformation sociale, nos combats syndicaux pour une société plus juste, plus solidaire, accueillante et fraternelle.

Toutes ces organisations ne font que diviser. Elles instrumentalisent la colère sociale à des fins populistes. La « priorité nationale » est contraire à nos valeurs, comme aux valeurs républicaines.

Régulièrement et particulièrement dans la période, les responsables politiques de cette mouvance attaquent les militants syndicaux, particulièrement ceux de la CGT et pas uniquement dans les communes où l’extrême droite est majoritaire.

L’extrême droite, sous toutes ses formes, n’a pas sa place dans les cortèges syndicaux ! Elle est l’amie des puissants et l’ennemi de ceux qui se battent pour la justice sociale !

La CGT, avec ses organisations, ne tolèrera aucune provocation, aucune utilisation abusive des médias ou réseaux sociaux pour venir soutenir la stratégie d’imposture sociale de l’extrême droite.

Montreuil, le 21 mars 2018

 
  • facebook
  • Google bookmarks
  • Netvibes
  • Twitter
  • Yahoo! Bookmarks

Voir les commentaires

Rédigé par aragon 43

Publié dans #CGT

Repost0

Publié le 19 Mars 2018

Rédigé par aragon 43

Publié dans #CGT

Repost0

Publié le 19 Mars 2018

CGTENLUTTE  - fin de la grève des urgences de l’hôpital St André (33) !
Les personnels des Urgences après 62 jours de grève acharnée ont vu leurs revendications acceptées par la Direction du CHU de Bordeaux.

Les voici :

§  L’arrêt de l’alternance jour/nuit, imposée depuis 8 ans grâce à l’embauche spécifique de 5 infirmiers sur des postes spécifiques de nuit. Ils ont obtenu une équipe fixe de jour et de nuit leur permettant d’être en nombre suffisant pour faire leur travail

§  Le maintien de l’effectif de jour dont les contractuels.

§  L’ouverture d’un concours augmenté de postes pour les infirmier( e )s .

§  Le remplacement des congés maladies.

§  Le maintien de l’effectif actuel tant qu’une vraie stabilité de planning comprenant les futurs départs ne sera pas en place

§  Le tutorat des nouveaux professionnels.

§  Le rétablissement de la prime de nuit pour tous les agents CDD et CDI de l’ensemble du CHU

§  aucune sanction ne sera acceptée à l’encontre des grévistes qui se sont mis en lutte.

§  La solidarité du service (médical et paramédical) a mené une lutte gagnante même si ça a été dur et long.

L’ensemble de l’équipe a tenu bon contre une direction qui ne voulait rien lâcher.
Malgré ces engagements, nous continuons à rester vigilants dans les suites de ce dossier
Nous sommes tous fiers que ce soit notre lutte de Saint André qui ait gagné !
Nous n’accepterons pas que notre hôpital public soit traité comme une entreprise.

Voir les commentaires

Rédigé par aragon 43

Publié dans #CGT

Repost0

Publié le 19 Mars 2018

Voir les commentaires

Rédigé par aragon 43

Publié dans #politique, #SOCIETE, #Sociétés

Repost0

Publié le 18 Mars 2018

LES VIEUX AU RANCART : CERTAINEMENT PAS !

J’ai écouté l’émission économique du samedi matin à France Inter qui concernait les retraités-es.

Ignoble de les considérer comme des nantis et des privilégiés.

Monsieur Le Chypre, économiste patenté du capital a déversé sa bile et heureusement qu’un autre économiste lui a répondu sinon il y avait de quoi flanquer le poste radio par la fenêtre.

Cela venait après l’importante manifestation des retraités-es de ce jeudi 15 mars exigeant que l’on mette fin à la dégringolade organisée de leur retraite.

La veille des manifestations, Macron a dû monter au créneau pour répondre aux interpellations de ces retraités-es qu’il spolie : celui-ci, provocateur, a asséné qu’il était normal que les personnes âgées acceptent quelques sacrifices sur leurs retraites.

Le sieur Macron s’en prend donc aux retraités-es et ignore superbement ceux qui font des profits immenses sur le dos du monde du travail.

Samedi matin donc, à France inter, Emmanuel Le chypre est revenu sur cette déclaration du président de la République en s’attaquant directement aux  retraités-es qu’il accuse d’avoir « des retraites dorées ».

Une population, dit-il, qui vivrait mieux que les autres catégories : en fait même refrain que le statut des cheminots considéré comme un privilège exorbitant ;  il s’agit – vieux subterfuge- d’opposer toujours le monde du travail entre eux et ici les jeunes aux vieux.

En fait,  après avoir ponctionné les actifs,  il s’agit maintenant de prélever sur les retraités-es pour qu’ils soient à égalité dans la baisse générale du dit cout du travail avec les salariés-es sous prétexte d’équité et le tour est joué.

Tout au long de son plaidoyer, Le Chypre considère que ces retraités-es sont une génération qui a trop profité par rapport aux générations qui les ont précédées ;  et surtout par rapport aux générations qui suivront et qui versent pour eux en ce moment. Une façon roublarde d’utiliser la répartition pour de sombres desseins financiers.

Alors toutes les maniements sont les bienvenues et sont évoquées les privilèges des retraités-es propriétaires de leurs logements, de gens toujours en  vacances et en voyages avec de superbes camping-cars  attelés à des voitures puissantes qu’ils achètent majoritairement en ce moment, que leur espérance de vie en bonne santé n’a jamais été aussi élevée et ultime argument : ils n’ont pas connu la guerre et ont pu avoir des emplois assurés et bien payés pendant toute leur carrière.

Monsieur Le Chypre c’est indigne d’un économiste digne de ce nom. Au fait, monsieur le Chypre qui met les jeunes dans cet état de sous-emploi sinon vos amis !

Bref, c’est tout à peine s’il ne les mettrait pas au rancart dès l’âge ou la santé se détériore ; j’exagère et force  le trait bien sûr,  parce que derrière cette hystérie se prolifère une sorte de rengaine contre les vieux égoïstes et non partageurs qui circule dans les médias et les réseaux dits sociaux. Monsieur Le Chypre s’est ensuite évertué à nous démontrer que nous sommes en système par répartition et que c’est toujours l’actif qui cotise pour payer les retraites.

C’est exact ;  mais Monsieur Le Chypre n’en tire pas les conséquences solidaires entre toutes les générations ; il les nie tout compte fait,  il veut la disparition de cette chaine de solidarité en s’attardant sur le cout de celle-ci  et de l’impossibilité de l’offrir aux retraités-es tout au long de leur vie en  soins et retraites.

Ponctionner les retraites pour les profits et les dividendes voilà donc la marche à suivre que voudrait nous inculquer Monsieur Le Chypre en étant le brave perroquet de Monsieur Macron et du MEDEF

Bas les pattes !

Ces retraités-es dorés-es, Monsieur Le Chypre,  ce sont ceux et celles qui ont contribué largement par leurs cotisations  à payer les retraites des salariés d’avant guerre qui n’avaient rien et aussi ceux et celles qui sont partis dans les années 50 à 70  et qui  ont vu leur retraite progresser régulièrement par les cotisations versées par les actifs : ce sont ceux et celles qui sont aujourd’hui en retraite et que vous considérez comme des privilégiés. Ils ont aussi relevé la France après la libération, vous oubliez cela dans vos raisonnements patronaux.

En fait, tout cela ne vise qu’à opposer actifs et retraités et cacher cette réalité de la dégradation du salarial des générations actuellement au travail.

Monsieur Le Chypre à aucun moment vous ne situez le vrai problème : celui des privilèges de la rente, or c’est là que le bât blesse, quand on apprend que les titulaires du CAC 40 viennent de réaliser près de 100 milliards de profits en 2017 et qu’ils se sont partagés en dividendes près de 50 % de ces profits pris sur le dos du travail et des retraites.

Monsieur Le Chypre, d’autre part, considère que l’espérance de vie n’est plus celle de 50 ans à la libération  (grâce à la Sécurité sociale Monsieur Le Chypre !) ;  en fait cette espérance de vie nous a fait gagné plus de 30 ans devient insupportable pour le capital ; voilà la raison que nous cache Monsieur Le Chypre.

A y regarder de plus près, l’injonction nous est faite de réduire nos retraites, de partager la misère avec la jeunesse.

J’espère bien que vos paroles à l’emporte pièces contre ces retraités-es finiront dans les poubelles de l’histoire.

Les luttes qui montent actuellement indiquent que Macron a mangé son pain blanc et qu’il aura en face de lui et les patrons du CAC 40 qu’il sert, un mouvement social à la hauteur de l’enjeu : le progrès social.

Bernard Lamirand

Voir les commentaires

Rédigé par aragon 43

Publié dans #Retraites, #SECURITE SOCIALE

Repost0