Publié le 30 Avril 2014

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Publié le 30 Avril 2014

QUELQUES AFFICHES

PREMIER MAI DE LUTTES
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PREMIER MAI DE LUTTES
PREMIER MAI DE LUTTES

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Publié le 30 Avril 2014

VALLS : CHEF D'ORCHESTRE DE LA MUSIQUE PATRONALE

POUR PREMIÈRE RÉPONSE UN GRAND PREMIER MAI

VALLS : LA RITOURNELLE A DROITE TOUTE

Il n’y a plus rien à espérer de ce gouvernement sous la baguette de Valls et du compositeur Hollande.

Le chant de l’austérité résonne à plein poumon et les gorges déployées des sociaux libéraux canardent le message subliminal de la droite libérale.

Le pacte de responsabilité (d’irresponsabilité) n’est que la seule mélodie d’un gouvernement qui a choisi de composer avec le capital et l’ami Gattaz.

La partition écrite par le Medef doit être jouée par un orchestre qui est passé de la lutte contre la finance à l’affection envers le capital : les ondes et les télés et les médias sont chargées de faire en sorte qu’elle soit reprise et apprise par le commun des mortels.

50 Milliards pour des prunes !

Non ! 50 milliards de notes qui tintent et sonnent gaiement aux oreilles du patronat qui se demande s’il ne devrait pas en rajouter vu la courbure de l’échine de Hollande et de son gouvernement.

Un patronat qui est ravi et qui fait requête que des airs nouveaux soient composés comme celui de bloquer les salaires pendant trois ans comme le demandent l’instrumentaliste du Medef, le dénommé Gattaz.

Et si nous ferions retentir une autre musique ? Par exemple celle de bloquer les dividendes jusque quand la dette patronale qui suinte et ruisselle chaque jour du tombereau des sales mesures d’austérité, soit résorbée jusqu’à la dernière goutte.

Après tout, qui a fait cette mauvaise partition de la dette ? Les banquiers, les hommes d’affaires, les multinationales et l’accordéoniste « VALLS musette » a le toupet de dire que les Français ont vécu au dessus de leurs moyens, englobant ainsi tout le monde et permettant au capital de s’en laver les mains.

Au lieu de s’adresser à tout l’auditoire pour montrer du doigt les responsables de la crise que nous serions tous, Valls aurait dû s’adresser à ceux qui ont mis en musique depuis tant d’années la spéculation et un coût du capital dont on nous demande de payer les frasques de ces nantis et privilégiés de la fortune.

Pour eux aucun applaudissements devant cette musique funèbre de l’argent roi : qu’ils payent la dette.

Alors, oui, une autre musique doit s’entendre de plus en plus, c’est celle de la lutte.

Désormais le débat n’est pas à l’Assemblée Nationale mais bien dans les usines et les rues avec les grèves et actions pour réclamer de meilleurs salaires et de meilleures retraites.

Prenons l’argent là où il est disait Marchais, il avait raison, prenons l’argent dans les coffres forts qui se remplissent à vue d’œil en ce moment et avec les 50 milliards offerts par les socialistes à la bourgeoisie, ils sont entrain de déborder.

Vivent les luttes et commençons par un grand premier mai.

Bernard LAMIRAND

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Publié le 30 Avril 2014

MARYSE DUMAS DECLARATION

Maryse Dumas, Membre Cgt Au Conseil économique, Social Et Environnemental.
« Ça passe ou ça craque », c’est le raisonnement du gouvernement Valls. Après avoir payé pour les banques, nous voici contraints de payer pour des transferts massifs de fonds publics vers les entreprises et leurs actionnaires. A l’évidence ni la « sensibilité de gauche » du gouvernement et l’alerte des municipales, ni le bilan désastreux des politiques austéritaires menées ailleurs ne sont de nature à faire varier le président de la République et son premier ministre. Seule une levée en masse populaire pourrait y parvenir. Or, tout en la craignant, le premier ministre tente le passage en force. Son calcul est que les conditions ne sont pas réunies pour un tel mouvement. Et c’est bien là le problème !A gauche, en effet, l’expression du désaccord se fait davantage sur le mode du retrait que sur celui de l’intervention : retrait des urnes, retrait du débat politique, retrait des luttes dès lors qu’elles portent sur les enjeux de la politique menée par le gouvernement. Les luttes sociales d’entreprises ou de secteurs professionnels persistent, et c’est heureux, mais à la condition d’un enracinement professionnel et syndical.
Convergences et tous ensembles restent pour l’heure difficiles. Au contraire, « Manif pour tous », « bonnets rouges » ou « Yes week-end » ont fait leurs choux gras de l’inversion des mots d’ordre et des valeurs, n’hésitant pas à détourner au service d’objectifs réactionnaires une bonne partie des modes opératoires des manifestations progressistes. Il est légitime alors de chercher à ne pas laisser l’expression politique des manifestations de rue monopolisée par les forces les plus rétrogrades. La tentation est forte, alors, de rallier les déjà convaincus, ceux qui partagent le même diagnostic et les mêmes objectifs, voire les directions de tel ou tel syndicat. Mais elle est mauvaise conseillère. L’histoire montre en effet qu’il y a là le risque d’un raccourci dangereux. La recherche de rassemblement doit viser le plus grand nombre. Elle ne peut faire l’impasse d’un patient travail d’écoute de confrontation et de construction avec les millions de personnes qui doutent, « ne croient plus en la politique ni en ceux qui en font », de celles et ceux aussi qui au bout de tant d’années de combat se laissent aller à la résignation. Permettre à chacune et chacun de reprendre confiance dans son propre pouvoir d’agir en solidarité avec les autres et de parvenir ainsi à changer le cours des choses au quotidien autant que sur les grandes questions est incontournable. Dans cette démarche, le syndicalisme peut jouer un rôle décisif, à condition de pouvoir, en toute indépendance, déployer toutes ses ressources à la fois revendicatives et de rassemblement des salariés quelles que soient leurs opinions politiques. L’indépendance et le rassemblement du syndicalisme au service des mobilisations sociales sont plus que jamais une question politique majeure à laquelle toutes les forces de transformation doivent veiller sous peine de compromettre durablement les possibilités de mobilisations sociales alternatives. ■

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Publié le 30 Avril 2014

Groupe socialiste, républicain et citoyen (291 membres)

Pour: 242

  • Ibrahim Aboubacar
  • Patricia Adam
  • Sylviane Alaux
  • Jean-Pierre Allossery
  • François André
  • Nathalie Appéré
  • Avi Assouly
  • Pierre Aylagas
  • Alexis Bachelay
  • Guillaume Bachelay
  • Jean-Paul Bacquet
  • Dominique Baert
  • Gérard Bapt
  • Frédéric Barbier
  • Ericka Bareigts
  • Christian Bataille
  • Marie-Noëlle Battistel
  • Nicolas Bays
  • Catherine Beaubatie
  • Jean-Marie Beffara
  • Luc Belot
  • Karine Berger
  • Chantal Berthelot
  • Gisèle Biémouret
  • Philippe Bies
  • Erwann Binet
  • Yves Blein
  • Jean-Luc Bleunven
  • Patrick Bloche
  • Daniel Boisserie
  • Pascale Boistard
  • Christophe Borgel
  • Florent Boudié
  • Marie-Odile Bouillé
  • Christophe Bouillon
  • Brigitte Bourguignon
  • Malek Boutih
  • Émeric Bréhier
  • Jean-Louis Bricout
  • Jean-Jacques Bridey
  • François Brottes
  • Gwenegan Bui
  • Sabine Buis
  • Jean-Claude Buisine
  • Sylviane Bulteau
  • Vincent Burroni
  • Alain Calmette
  • Jean-Christophe Cambadélis
  • Colette Capdevielle
  • Yann Capet
  • Christophe Caresche
  • Martine Carrillon-Couvreur
  • Christophe Castaner
  • Laurent Cathala
  • Jean-Yves Caullet
  • Guy Chambefort
  • Jean-Paul Chanteguet
  • Marie-Anne Chapdelaine
  • Guy-Michel Chauveau
  • Jean-David Ciot
  • Alain Claeys
  • Jean-Michel Clément
  • Marie-Françoise Clergeau
  • Philip Cordery
  • Valérie Corre
  • Jean-Jacques Cottel
  • Catherine Coutelle
  • Jacques Cresta
  • Pascale Crozon
  • Seybah Dagoma
  • Yves Daniel
  • Carlos Da Silva
  • Pascal Deguilhem
  • Guy Delcourt
  • Carole Delga
  • Sébastien Denaja
  • Françoise Descamps-Crosnier
  • Sophie Dessus
  • Jean-Louis Destans
  • Michel Destot
  • Fanny Dombre-Coste
  • René Dosière
  • Sandrine Doucet
  • Philippe Doucet
  • Françoise Dubois
  • Anne-Lise Dufour-Tonini
  • Françoise Dumas
  • William Dumas
  • Laurence Dumont
  • Jean-Louis Dumont
  • Jean-Paul Dupré
  • Yves Durand
  • Philippe Duron
  • Olivier Dussopt
  • Corinne Erhel
  • Sophie Errante
  • Marie-Hélène Fabre
  • Martine Faure
  • Olivier Faure
  • Alain Fauré
  • Matthias Fekl
  • Vincent Feltesse
  • Jean-Pierre Fougerat
  • Hugues Fourage
  • Michèle Fournier-Armand
  • Michel Françaix
  • Christian Franqueville
  • Jean-Claude Fruteau
  • Jean-Louis Gagnaire
  • Geneviève Gaillard
  • Yann Galut
  • Hélène Geoffroy
  • Jean Glavany
  • Yves Goasdoué
  • Geneviève Gosselin-Fleury
  • Pascale Got
  • Marc Goua
  • Laurent Grandguillaume
  • Estelle Grelier
  • Jean Grellier
  • Élisabeth Guigou
  • Thérèse Guilbert
  • Chantal Guittet
  • David Habib
  • Razzy Hammadi
  • Danièle Hoffman-Rispal
  • Joëlle Huillier
  • Sandrine Hurel
  • Monique Iborra
  • Françoise Imbert
  • Michel Issindou
  • Éric Jalton
  • Serge Janquin
  • Henri Jibrayel
  • Régis Juanico
  • Armand Jung
  • Laurent Kalinowski
  • Marietta Karamanli
  • Philippe Kemel
  • Bernadette Laclais
  • Conchita Lacuey
  • Colette Langlade
  • Jean Launay
  • Pierre Léautey
  • Pierre-Yves Le Borgn'
  • Jean-Yves Le Bouillonnec
  • Patrick Lebreton
  • Gilbert Le Bris
  • Anne-Yvonne Le Dain
  • Jean-Yves Le Déaut
  • Viviane Le Dissez
  • Michel Lefait
  • Dominique Lefebvre
  • Annie Le Houérou
  • Annick Le Loch
  • Patrick Lemasle
  • Catherine Lemorton
  • Annick Lepetit
  • Jean-Pierre Le Roch
  • Bruno Le Roux
  • Michel Lesage
  • Bernard Lesterlin
  • Serge Letchimy
  • Michel Liebgott
  • Martine Lignières-Cassou
  • Audrey Linkenheld
  • François Loncle
  • Gabrielle Louis-Carabin
  • Lucette Lousteau
  • Jean-Pierre Maggi
  • Jean-Philippe Mallé
  • Thierry Mandon
  • Jacqueline Maquet
  • Marie-Lou Marcel
  • Jean-René Marsac
  • Martine Martinel
  • Frédérique Massat
  • Sandrine Mazetier
  • Michel Ménard
  • Patrick Mennucci
  • Philippe Nauche
  • Nathalie Nieson
  • Maud Olivier
  • Monique Orphé
  • Michel Pajon
  • Luce Pane
  • Rémi Pauvros
  • Germinal Peiro
  • Hervé Pellois
  • Jean-Claude Perez
  • Sylvie Pichot
  • Sébastien Pietrasanta
  • Martine Pinville
  • Christine Pires Beaune
  • Philippe Plisson
  • Élisabeth Pochon
  • Napole Polutélé
  • Pascal Popelin
  • Dominique Potier
  • Émilienne Poumirol
  • Patrice Prat
  • Joaquim Pueyo
  • François Pupponi
  • Catherine Quéré
  • Valérie Rabault
  • Monique Rabin
  • Dominique Raimbourg
  • Marie Récalde
  • Marie-Line Reynaud
  • Eduardo Rihan Cypel
  • Alain Rodet
  • Marcel Rogemont
  • Frédéric Roig
  • Bernard Roman
  • Gwendal Rouillard
  • René Rouquet
  • Alain Rousset
  • Boinali Said
  • Béatrice Santais
  • Odile Saugues
  • Gilbert Sauvan
  • Gilles Savary
  • Christophe Sirugue
  • Julie Sommaruga
  • Pascal Terrasse
  • Gérard Terrier
  • Thomas Thévenoud
  • Sylvie Tolmont
  • Jean-Louis Touraine
  • Cécile Untermaier
  • Jean-Jacques Urvoas
  • Daniel Vaillant
  • Hélène Vainqueur-Christophe
  • Jacques Valax
  • Clotilde Valter
  • Michel Vauzelle
  • Olivier Véran
  • Fabrice Verdier
  • Michel Vergnier
  • Patrick Vignal
  • Jean-Michel Villaumé
  • Jean Jacques Vlody

Contre: 3

  • Marie-Françoise Bechtel
  • Christian Hutin
  • Jean-Luc Laurent

Abstention: 41

  • Pouria Amirshahi
  • Christian Assaf
  • Serge Bardy
  • Delphine Batho
  • Laurent Baumel
  • Philippe Baumel
  • Jean-Pierre Blazy
  • Kheira Bouziane-Laroussi
  • Isabelle Bruneau
  • Fanélie Carrey-Conte
  • Nathalie Chabanne
  • Dominique Chauvel
  • Pascal Cherki
  • Florence Delaunay
  • Jean-Pierre Dufau
  • Henri Emmanuelli
  • Hervé Féron
  • Richard Ferrand
  • Jean-Marc Germain
  • Jean-Patrick Gille
  • Daniel Goldberg
  • Linda Gourjade
  • Jérôme Guedj
  • Edith Gueugneau
  • Mathieu Hanotin
  • Chaynesse Khirouni
  • Christophe Léonard
  • Arnaud Leroy
  • Kléber Mesquida
  • Franck Montaugé
  • Pierre-Alain Muet
  • Philippe Noguès
  • Christian Paul
  • Michel Pouzol
  • Denys Robiliard
  • Barbara Romagnan
  • Gérard Sebaoun
  • Suzanne Tallard
  • Stéphane Travert
  • Catherine Troallic
  • Paola Zanetti

Non-votants: 5

MM. Claude Bartolone (Président de l'Assemblée nationale), Christian Eckert (Membre du gouvernement), Jean-Marie Le Guen (Membre du gouvernement), Mmes Axelle Lemaire (Membre du gouvernement) et Ségolène Neuville (Membre du gouvernement).

Groupe de l'union pour un mouvement populaire (198 membres)

Pour: 1

  • Frédéric Lefebvre

Contre: 192

  • Damien Abad
  • Elie Aboud
  • Bernard Accoyer
  • Yves Albarello
  • Nicole Ameline
  • Benoist Apparu
  • Julien Aubert
  • Olivier Audibert-Troin
  • Patrick Balkany
  • Jean-Pierre Barbier
  • François Baroin
  • Sylvain Berrios
  • Xavier Bertrand
  • Étienne Blanc
  • Marcel Bonnot
  • Jean-Claude Bouchet
  • Valérie Boyer
  • Xavier Breton
  • Philippe Briand
  • Bernard Brochand
  • Dominique Bussereau
  • Olivier Carré
  • Gilles Carrez
  • Yves Censi
  • Luc Chatel
  • Gérard Cherpion
  • Guillaume Chevrollier
  • Alain Chrétien
  • Jean-Louis Christ
  • Dino Cinieri
  • Éric Ciotti
  • Philippe Cochet
  • Jean-François Copé
  • François Cornut-Gentille
  • Jean-Louis Costes
  • Édouard Courtial
  • Jean-Michel Couve
  • Marie-Christine Dalloz
  • Gérald Darmanin
  • Olivier Dassault
  • Marc-Philippe Daubresse
  • Bernard Debré
  • Jean-Pierre Decool
  • Bernard Deflesselles
  • Lucien Degauchy
  • Rémi Delatte
  • Patrick Devedjian
  • Nicolas Dhuicq
  • Sophie Dion
  • Jean-Pierre Door
  • Dominique Dord
  • David Douillet
  • Marianne Dubois
  • Virginie Duby-Muller
  • Christian Estrosi
  • Daniel Fasquelle
  • Georges Fenech
  • François Fillon
  • Marie-Louise Fort
  • Yves Foulon
  • Marc Francina
  • Yves Fromion
  • Laurent Furst
  • Claude de Ganay
  • Sauveur Gandolfi-Scheit
  • Hervé Gaymard
  • Annie Genevard
  • Guy Geoffroy
  • Bernard Gérard
  • Alain Gest
  • Daniel Gibbes
  • Franck Gilard
  • Georges Ginesta
  • Charles-Ange Ginesy
  • Jean-Pierre Giran
  • Claude Goasguen
  • Jean-Pierre Gorges
  • Philippe Gosselin
  • Philippe Goujon
  • Claude Greff
  • Anne Grommerch
  • Serge Grouard
  • Henri Guaino
  • Françoise Guégot
  • Jean-Claude Guibal
  • Jean-Jacques Guillet
  • Christophe Guilloteau
  • Michel Heinrich
  • Michel Herbillon
  • Antoine Herth
  • Patrick Hetzel
  • Philippe Houillon
  • Guénhaël Huet
  • Sébastien Huyghe
  • Christian Jacob
  • Denis Jacquat
  • Christian Kert
  • Nathalie Kosciusko-Morizet
  • Jacques Kossowski
  • Patrick Labaune
  • Valérie Lacroute
  • Marc Laffineur
  • Jacques Lamblin
  • Jean-François Lamour
  • Laure de La Raudière
  • Guillaume Larrivé
  • Charles de La Verpillière
  • Thierry Lazaro
  • Alain Leboeuf
  • Isabelle Le Callennec
  • Marc Le Fur
  • Pierre Lellouche
  • Bruno Le Maire
  • Dominique Le Mèner
  • Jean Leonetti
  • Pierre Lequiller
  • Philippe Le Ray
  • Céleste Lett
  • Geneviève Levy
  • Véronique Louwagie
  • Lionnel Luca
  • Gilles Lurton
  • Jean-François Mancel
  • Alain Marc
  • Laurent Marcangeli
  • Thierry Mariani
  • Hervé Mariton
  • Alain Marleix
  • Olivier Marleix
  • Franck Marlin
  • Alain Marsaud
  • Philippe Armand Martin
  • Patrice Martin-Lalande
  • Alain Marty
  • Jean-Claude Mathis
  • François de Mazières
  • Damien Meslot
  • Philippe Meunier
  • Jean-Claude Mignon
  • Pierre Morange
  • Yannick Moreau
  • Pierre Morel-A-L'Huissier
  • Alain Moyne-Bressand
  • Jacques Myard
  • Dominique Nachury
  • Yves Nicolin
  • Patrick Ollier
  • Valérie Pécresse
  • Jacques Pélissard
  • Bernard Perrut
  • Édouard Philippe
  • Jean-Frédéric Poisson
  • Bérengère Poletti
  • Axel Poniatowski
  • Josette Pons
  • Christophe Priou
  • Didier Quentin
  • Frédéric Reiss
  • Jean-Luc Reitzer
  • Bernard Reynès
  • Franck Riester
  • Arnaud Robinet
  • Camille de Rocca Serra
  • Sophie Rohfritsch
  • Martial Saddier
  • Paul Salen
  • Claudine Schmid
  • André Schneider
  • Jean-Marie Sermier
  • Thierry Solère
  • Michel Sordi
  • Éric Straumann
  • Claude Sturni
  • Alain Suguenot
  • Michèle Tabarot
  • Lionel Tardy
  • Jean-Charles Taugourdeau
  • Guy Teissier
  • Michel Terrot
  • Jean-Marie Tetart
  • Dominique Tian
  • François Vannson
  • Catherine Vautrin
  • Patrice Verchère
  • Jean-Sébastien Vialatte
  • Jean-Pierre Vigier
  • Philippe Vitel
  • Michel Voisin
  • Jean-Luc Warsmann
  • Laurent Wauquiez
  • Éric Woerth
  • Marie-Jo Zimmermann

Abstention: 3

  • Jérôme Chartier
  • Arlette Grosskost
  • Fernand Siré

Non-votants: 2

MM. Jacques Alain Bénisti et François Scellier.

Groupe de l'union des démocrates et indépendants (29 membres)

Pour: 3

  • Meyer Habib
  • Jonas Tahuaitu
  • Jean-Paul Tuaiva

Contre: 7

  • Yannick Favennec
  • Jean-Christophe Fromantin
  • Francis Hillmeyer
  • Franck Reynier
  • François Rochebloine
  • Rudy Salles
  • François Sauvadet

Abstention: 17

  • Thierry Benoit
  • Charles de Courson
  • Stéphane Demilly
  • Philippe Folliot
  • Philippe Gomès
  • Yves Jégo
  • Sonia Lagarde
  • Maurice Leroy
  • Hervé Morin
  • Bertrand Pancher
  • Michel Piron
  • Arnaud Richard
  • André Santini
  • Francis Vercamer
  • Philippe Vigier
  • François-Xavier Villain
  • Michel Zumkeller

Non-votants: 2

MM. Jean-Louis Borloo et Jean-Christophe Lagarde.

Groupe écologiste (17 membres)

Pour: 3

  • Éric Alauzet
  • François-Michel Lambert
  • Paul Molac

Contre: 12

  • Laurence Abeille
  • Brigitte Allain
  • Isabelle Attard
  • Danielle Auroi
  • Michèle Bonneton
  • Christophe Cavard
  • Sergio Coronado
  • Noël Mamère
  • Véronique Massonneau
  • Barbara Pompili
  • François de Rugy
  • Eva Sas

Abstention: 2

  • Denis Baupin
  • Jean-Louis Roumégas

Groupe radical, républicain, démocrate et progressiste (17 membres)

Pour: 13

  • Ary Chalus
  • Gérard Charasse
  • Jeanine Dubié
  • Olivier Falorni
  • Paul Giacobbi
  • Joël Giraud
  • Jérôme Lambert
  • Jacques Moignard
  • Dominique Orliac
  • Thierry Robert
  • Stéphane Saint-André
  • Roger-Gérard Schwartzenberg
  • Alain Tourret

Abstention: 2

  • Jean-Noël Carpentier
  • Jacques Krabal

Non-votants: 2

M. Thierry Braillard (Membre du gouvernement) et Mme Annick Girardin (Membre du gouvernement).

Groupe de la gauche démocrate et républicaine (15 membres)

Pour: 2

  • Bruno Nestor Azérot
  • Gabriel Serville

Contre: 12

  • François Asensi
  • Huguette Bello
  • Alain Bocquet
  • Marie-George Buffet
  • Jean-Jacques Candelier
  • Patrice Carvalho
  • Gaby Charroux
  • André Chassaigne
  • Marc Dolez
  • Jacqueline Fraysse
  • Alfred Marie-Jeanne
  • Nicolas Sansu

Abstention: 1

  • Jean-Philippe Nilor

Non inscrits (8 membres)

Pour: 1

  • Sylvie Andrieux

Contre: 6

  • Véronique Besse
  • Jacques Bompard
  • Gilles Bourdouleix
  • Gilbert Collard
  • Nicolas Dupont-Aignan
  • Marion Maréchal-Le Pen

Abstention: 1

  • Jean Lassalle
Votes des groupes

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Publié le 29 Avril 2014

50 MILLIARDS A PRENDRE CHEZ LES TRAVAILLEURS POUR DONNER AUX RICHES

AVIS DE RECHERCHE : 50 MILLIARDS POUR DETROUSSER MORTS OU VIFS LES PROLOS

50 Milliards d’Euros d’économie pour quoi faire ?

Politique de gribouille ou choix volontaire de rendre notre pays encore plus malade qu’il ne l’est actuellement ?

Je choisis la deuxième interrogation : le gouvernement socialiste a choisi des médicaments qui tuent le social.

Les députés socialistes voteront ce jour le plan présenté par Valls moyennant quelques miettes aux retraités les plus pauvres notamment ayant des pensions en dessous de 1200 Euros. Si besoin est, ils auront comme secours les voix de députés de droite. La porosité entre sociaux démocrates et droite s’affirme.

Ils avaleront la mixture de dons fait aux capitalistes, aux financiers, aux grandes banques et sociétés d’assurances, aux multinationales. Plusieurs centaines de milliards iront rejoindre les portefeuilles des milliardaires déjà bien rembourrés.

Ce plan va faire des victimes notamment tous les salariés qui ne verront pas leur pouvoir d’achat maintenu ou amélioré, les retraités au dessus de 1200 Euros seront sacrifiés d’autant plus que les retraites complémentaires sont bloquées pour tous et toutes, quelque soit leur pension. les fonctionnaires sont au pain sec pour de nombreuses années etc.

La santé, le logements, les transports, les services publics, l’aide seront aussi au pain sec avec pour résultante des milliers d’emplois supprimés et de millions de personnes touchées par ces reculs sociaux.

Le dividende l’a donc emporté chez les socialistes sur les salaires. Seuls les salaires et les retraites paieront les dettes de ces capitalistes qui ont mis notre pays à sac.

Des émoluments que le Président veut amputer au deux bouts pour les jeunes par l’apprentissage, formule bidon, puisque l’on sait que les intéressés vont bosser et que leur apprentissage sera pour le temps qui restera après avoir « marné » aux machines ou à diverses corvées à éplucher bêtement des patates. Même chose pour les sans-emploi de longue durée qui deviendront des « apprentis » dans les entreprises selon un concept inventé par le « profiteur » Gérard Mestrallet PDG de GDF-SUEZ. Les patrons ont de quoi se frotter les mains, ils auront un main d’oeuvre gratuite formée et ils ne paieront pas un « rond » et pour eux la feuille de paie ne comportera plus aucune ligne concernant le salaire et les cotisations sociales à verser puisque la paie sera assuré par toutes sortes de prestations sociales extérieures à l’entreprise, notamment venant des collectivités locales qui n’en peuvent plus d’ailleurs.

Du pain béni pour eux et pour tous les exploiteurs qui auront soit un main d’œuvre jeunes « gratos » et où main d’œuvre qualifié « regratos ». Donc un coût du travail nul. Et puis, un tourne-over idéal, dés que le contrat s’achève on peut facilement puiser dans une nouvelle arrivée de chair fraiche ou de travailleurs qualifiés devenus »apprentis ».

Tout compte fait un Smic jeune s’installe et un SMIC vieux verront le jour à travers cette histoire d’apprentis. Et quelle insulte à tous ces travailleurs virés, disposant de qualifications, de les ramener à retourner à la case départ.

Les goussets des actionnaires vont enfler et cela me rappelle le temps où je travaillais comme apprenti jardinier, que je devais tondre des pelouses du matin jusqu’au soir pour une bouchée de pain et parfois je subissais des amendes pour avoir oublié de tondre un petit bout de pelouse.

Le coût du travail soude ainsi la collaboration entre le capital et la social-démocratie.

Tout l’inverse de nos anciens qui avaient su mettre en place avec le programme du Conseil National de la Résistance, une politique de développement social qui a permis de sortir notre pays de la ruine par le développement reposant sur la demande et non sur l’offre.

Il ne reste plus qu’à mener les luttes et de créer les conditions d’une vaste mobilisation du monde du travail.

L’enjeu est là, il est de classe, c’est un rapport de force à opérer pour que le coût du travail, en reprenant l’expression usitée augmente, donc les salaires, et que le coût du capital en soit réduit à sa plus simple expression.

Après tout le choix est là, le coût du travail effondré conduit à la déflation, à la ruine, à la misère pour le monde du travail et par contre l’abaissement voir le blocage du coût du capital ne conduira qu’à réduire un peu le tas d’or stocké dans les paradis fiscaux de ces actionnaires qui ne sont que des parasites de la société.

Bernard LAMIRAND

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Publié le 28 Avril 2014

28 AVRIL JOURNEE DE COMMEMORATION DES TRAVAILLEURS MORTS OU BLESSES AU TRAVAIL

CONFÉDÉRATION SYNDICALE INTERNATIONALE

CSI en ligne

28 avril : La vie et la santé au travail ne sont pas une option, mais un droit

Bruxelles, le 25 avril 2014 (CSI en ligne) : En dépit de la vive émotion exprimée l'an dernier partout dans le monde suite au décès de 1138 travailleurs dans l'effondrement de l'usine du Rana Plaza au Bangladesh, et malgré la mort silencieuse, chaque année, de plus de 107.000 ouvriers à cause de l'amiante, les travailleurs de toute la planète constatent que les employeurs et les gouvernements continuent de donner la priorité à la « compétitivité », de réduire les services indispensables d'inspection du travail et de lutte contre les infractions, et de supprimer les mesures réglementaires destinées à protéger la vie et la santé des travailleurs.

Sharan Burrow, la secrétaire générale de la CSI, déclare : « Chaque jour, des travailleurs nous signalent des décès ou des accidents du travail, ou des maladies contractées au travail. Les statistiques officielles passent constamment ces chiffres sous silence, alors que les experts estiment qu'environ un million de travailleurs sont blessés tous les jours au travail ! Lorsque les travailleurs doivent choisir entre leur propre vie et le revenu familial au quotidien, on peut parler d'un échec du système ».

Ces hommes et ces femmes ne sont pas de simples statistiques. Ce sont les membres d'une communauté, qui tient à leur rendre hommage ce 28 avril. Les travailleurs du monde entier s'unissent, à l'occasion de la Journée internationale de commémoration des travailleuses et des travailleurs morts ou blessés au travail, pour saluer ces victimes du comportement irresponsable des employeurs. Pendant cette journée, la CSI souhaite rappeler le rôle primordial des droits, de la réglementation et de la lutte contre les infractions pour sauver des vies.

« Si les travailleurs n'ont pas la possibilité de s'exprimer, s'ils ne sont pas informés des risques qu'ils encourent, s'ils n'ont pas le pouvoir de veiller à ce que ces risques soient réduits au maximum, s'il n'existe pas de réglementation pour protéger les plus faibles dans la chaîne des valeurs, si les gouvernements laissent les entreprises agir sans contrôle, alors ne soyons pas surpris que le nombre de morts augmente chaque jour » commente Burrow.

« Une représentation syndicale satisfaisante, une formation appropriée, le respect et l'indépendance des commissions de santé et de sécurité au travail, et la connaissance du terrain des travailleurs sont autant d'éléments essentiels pour sauver des vies et préserver la santé ».

Cependant, au nom de la compétitivité et de la réduction du déficit public, les gouvernements adoptent des mesures d'austérité qui détruisent les fonctions régulatrices nécessaires pour protéger les travailleurs et leur famille, comme les inspecteurs du travail, par exemple.

Cette année, le 28 avril est également une journée d'importante mobilisation pour s'élever contre les terribles conditions de travail des hommes et des femmes migrants au Qatar. Privés de droits du travail, exploités et sous-payés, ils sont exposés à des risques de santé et de sécurité au travail d'une extrême gravité.

Vous trouverez une carte Google ainsi que des informations détaillées sur la Journée internationale de commémoration des victimes d'accidents du travail sur la page web du 28 avril de la CSI : www.hazards.org/wmd.

Vous pouvez également lire le blog d'Anabella Rosemberg sur le site d'Equal Times : http://www.equaltimes.org/this-is-how-we-will-win-the-fight#.U1qBRFe8z30

Notes aux rédacteurs

1. Les données initiales indiquent que le nombre de travailleurs participant aux manifestations du 28 avril 2014 est supérieur à celui des années passées. Des syndicats de tous les continents nous font part des actions qu'ils ont mises en place, notamment des arrêts de travail, l'observation d'une minute de silence, des flash mobs, des foires d'art, des séances de formation, l'organisation d'inspections du lieu de travail et de défilés dans les rues.

2. Vous trouverez une carte Google ainsi que des informations détaillées sur la Journée internationale de commémoration des victimes d'accidents du travail sur la page web du 28 avril de la CSI www.hazards.org/wmd: http://www.hazards.org/wmd/

La CSI représente 176 millions de travailleurs/euses à travers 325 organisations affiliées nationales dans 161 pays et territoires.

Suivez-nous sur le web : http://www.ituc-csi.org et http://www.youtube.com/ITUCCSI

Pour de plus amples informations, veuillez contacter le Service Presse de la CSI au : +32 2 224 02 04 ou +32 476 621 018.

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Rédigé par aragon 43

Publié dans #INTERNATIONAL

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Publié le 27 Avril 2014

LE TRAIN JAUNE

LA CHANSON DU TRAIN JAUNE ENVOYÉE PAR MA CAMARADE ARLETTE DESCHAMPS CHEMINOTE CGT ET DENAISIENNE

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Rédigé par aragon 43

Publié dans #Chansons

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Publié le 26 Avril 2014

VALLS AU VATICAN

VALLS AU VATICAN

Celui-ci va participer le 27 Avril à la canonisation de deux papes ayant marqué la religion chrétienne au vingtième siècle.

Mais là n’est pas mon propos.

Que va faire le premier ministre, en ce lieu de chrétienneté ?

Y va t’il pour recevoir l’onguent de sa politique ?

Une politique qu’il mène en faveur de ceux que Jésus-Christ avait chassé du temple.

Ne vient t-il pas de frapper les miséreux en bloquant les salaires et les retraites ?

N’est-il pas celui qui chasse les pauvres Roms et autres exclus de cette société de l’argent roi ?

N’est-il pas celui qui encourage les aigrefins de la finance par de multiples cadeaux fiscaux ?

Ne vient-il pas de détrousser les salariés et le retraités en offrant au patronat le plus retors quelques 50 milliards ?

Que va-t-il dire à ce pape, après ses exactions commises contre les travailleurs avec l’Ani et le pacte de responsabilité (irresponsabilité), surtout quand ce p ape vient d’exprimer au monde du travail à Cagliari (Italie) ce verdict si accusatif contre cette société de l’argent que Valls vient de combler de présents avec le Président de la République et je cite cette déclaration du pape qui va à l’encontre de cette politique ou tout est permis au capital : « Dieu a voulu qu’au centre du monde il n’y ait pas une idole, mais l’homme, l’homme et la femme, qui fassent avancer le monde par leur travail. Mais maintenant, au centre de ce système sans éthique, il y a une idole, et le monde idolâtre à présent ce « dieu-argent ». C’est l’argent qui commande ! C’est l’argent qui commande ! Et toutes les choses qui sont à son service, au service de cette idole, commandent. Et que se passe-t-il ? Pour défendre cette idole, tout le monde se rassemble au centre et les extrémités tombent, les personnes âgées tombent parce qu’il n’y a pas de place pour elles dans ce monde ! Certains parlent de cette habitude d’« euthanasie cachée », de ne pas les soigner, de ne pas les prendre en compte... « Oui, laissons tomber... ». Et les jeunes qui ne trouvent pas de travail ni leur dignité, tombent. Mais pensez-y, dans un monde où les jeunes — deux générations de jeunes — ne trouvent pas de travail. Ce monde n’a pas d’avenir. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont pas de dignité ! C’est difficile d’avoir une dignité sans travailler. Voilà votre souffrance, ici. Voilà la prière que vous avez clamée : « Travail », « Travail », « Travail ». C’est une prière nécessaire. Travail veut dire dignité, travail veut dire rapporter le pain à la maison, travail veut dire aimer ! Pour défendre ce système économique idolâtre, on instaure la « culture du rebut »: on met au rebut les grands-parents et on met au rebut les jeunes. Et nous devons dire non à cette « culture du rebut ». Nous devons dire : « Nous voulons un système juste ! Un système qui nous fasse tous avancer ». Nous devons dire : « Nous ne voulons pas de ce système économique mondialisé, qui nous fait tant de mal ! ». Au centre il doit y avoir l’homme et la femme, comme Dieu le veut, et non pas l’argent ! ».

Alors, après ces paroles saintes aussi cinglantes contre ce système auquel s’est mis à genoux le gouvernement socialiste, le premier ministre, le président de la République, Valls vient-il implorer le pardon et la rémission de ses péchés ?

Non ! Nullement. Il vient comme ces dévots bourgeois qui toute la semaine font les pires méchancetés et le dimanche vont à la messe pour se laver de leurs fautes pour recommencer le lendemain.

Alors parlons de processions : la meilleure procession ou plutôt la meilleure manifestation, ce sera celle d’un grand premier mai où les travailleurs n’implorons pas le capital mais agirons tous ensemble pour mettre fin à son règne et l’envoyer aux enfers pour l’éternité.

Bernard LAMIRAND

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Rédigé par aragon 43

Publié dans #Religions

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Publié le 26 Avril 2014

ABU JAMAL: LETTRE DU SECRETAIRE GENERAL DE LA CGT

Campagne Liberté pour Mumia

Le secrétaire général de la CGT écrit à Mumia Abu Jamal

vendredi 25 avril 2014 , par Frédéric Dayan

Alors que le journaliste afro-américain prisonnier vient d’atteindre son soixantième anniversaire, la campagne pour sa libération doit s’intensifier. Extrait du couloir de la mort en 2011 après une décision de la Cour suprême des Etats Unis qui a jugé sa condamnation à mort anticonstitutionnelle, Mumia est toujours incarcéré. Le secrétaire général de la CGT, Thierry Lepaon, s’est adressé hier 24 avril à Mumia dans un courrier ci dessous qui devrait lui être remis en mains propres.

Cher Mumia,

Pour beaucoup de gens, avoir 60 ans signifie un changement de vie, une aspiration à la retraite. Mais il n’en n’est rien pour vous, ce jour n’est que le début d’une nouvelle année en prison. Je tenais cependant à vous transmettre mes meilleurs vœux à l’occasion de votre 60e anniversaire. Mes vœux, mais également ceux des 700 000 salariés français affiliés à notre centrale syndicale. Votre moral, votre détermination et votre capacité de résistance sont source de profond respect dans notre organisation.

La CGT s’est toujours impliquée dans la lutte pour votre libération, contre la sentence arbitraire prononcée contre vous. Nous nous sommes réjouis – un moment – lorsque vous avez quitté le couloir de la mort. Mais la lutte continue, et nous en faisons activement partie. Nos structures signent la pétition en ligne adressée au procureur fédéral, demandant un nouveau jugement et votre libération. Ce soir, nous remettrons au Consulat américain à Paris les pétitions déjà signées. Soyez assuré du soutien de toute la CGT et de ses adhérents. A nouveau, mes meilleurs vœux pour votre anniversaire. J’espère que tout cœur que ce sera le dernier que vous passerez en prison.

Toute ma solidarité Thierry LEPAON Secrétaire général de la CGT

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Rédigé par aragon 43

Publié dans #syndicalisme

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