EQUITABLE
Publié le 28 Mars 2010
L'EQUITE !
Deux personnages viennent d'être l'objet de poursuites par le tribunal populaire de Nicoléon.
Toine Zac-Arias a selon l'enquête de la maréchaussée, perçu 3,3 millions d'euros de salaire en 2004 contre 2,9 les trois années précédentes, puis 4,2 millions en 2005.
À sa retraite en juin 2006, Toine a touché un "parachute doré" de 12,8 millions d'euros, avec une "retraite-chapeau" - payée par la société - de 2,145 millions d'euros par an. Il s'est vu attribuer environ deux millions de stock-options entre 2004 et 2006, pour lesquelles la milice financière de Bercy estime la plus-value potentielle de 2006 à 124 millions d'euros.
Jules Fouplurien de Puilontemps, chômeur et membre de la loge des "pique-assiettes" depuis 5 ans, vient enfin d'obtenir sa retraite à 60 ans, il a eu chaud le chenapan, car demain le gouvernement du sacristain de Matignon compte la porter à 65 ans, selon l'enquête du bureau des fraudes du magistère du labeur dirigé par un ancien d'Andersen et Cie; sa retraite chapeau de 900 Euros et celle de sa femme de 65O euros serait d'un coût trop grand pour la multitude et il serait utile de confondre les deux par une mathématique division.
Dans les attendus du tribunal Monsieur Fouplurien étant devenu une charge pour la nation alors que Monsieur Zac Arias investit son pécule pour redresser la France et sa croissance : l'équité doit bénéficier à celui qui créé de la richesse, en l'occurrence Monsieur Toine Zac Arias.
Le tribunal populaire du Peuple Nicoléon ordonne donc la relaxe de l'infortuné Zac Arias et condamne aux dépens le "Propre à Rien " Jules Fouplurien, au franc symbolique, et à remettre à la fondation du "Parachuté doré" sise à Neuilly sur Seine et à sa filiale à Chantilly dans le département de l'Oise.
Le jugement sera affiché dans tous les "Pôles Emplois" de France et de Navarre.
Bernard Lamirand antistockoptionniste primaire.