NOEL ?
Publié le 23 Décembre 2008
NOEL DES UNS ET DES AUTRES
Il n’est pas dans mes intentions de considérer que les fêtes de fin d’année et de nouvelle année doivent se passer dans la grisaille parce que la crise s’installe dans le monde et particulièrement là où la misère règne comme un absolu.
Nous avons tous besoin de bonheur et de retrouvailles dans ces moments si précieux et qui font humanité.
Ces fêtes se passeront à la maison autour d’un bon repas pour ce qui me concerne avec mes enfants et petits enfants.
Mais je sais bien que pour beaucoup de famille dont les parents sont en chômage ces fêtes seront des moments pénibles et que dehors les rejetés de ce système auront encore plus froid.
A la télévision, tous les jours, on nous présente ces moments avec force de menus fait par des chefs renommés, d’hôtels de luxe, de voyages dans les iles tropicales.
Les vitrines de beaux magasins resplendissent avec toute sorte d’objets que peuvent s’offrir les riches.
Ceux-ci vont pouvoir dépenser des milliards d’euros et de dollars qu’ils auront pris indument par l’exploitation et la spéculation durant cette année 2008.
La plupart ayant mis leur butin à l’abri des errements de la bourse.
J’ai voulu faire cet article en entendant ce midi le Président de la république nous faire la leçon depuis le Brésil que nous devons travailler plus pour gagner plus.
Ce fils de riche n’a aucune pudeur de tenir ce discours au moment où ses amis mettent des centaines de milliers d’hommes et de femmes au chômage.
Les coups de menton au Brésil ne donneront pas de boulot sinon quelques commandes d’armement dont ce pays veut se doter ; en plein Noël, ces gavés, dont le cynisme n’a d’égal que leur vilenie, pourront écouter la messe de minuit et hypocritement s’agenouiller pour la paix dans le monde..
J’ai saisi à la télé que pour ces fortunés les fêtes de fin d’année se dérouleront comme si de rien n’était.
Ils s’en vont en vacances et dépenseront une partie de leurs magots au soleil.
Ils peuvent partir tranquille, la crise et ses moments d’effroi pour leurs portefeuilles est derrière eux puisque Sarkozy a renfloué leurs banques.
Les salariés paieront la note.
D’ailleurs ce gouvernement donne l’exemple : Sarkozy et sa dulcinée ainsi que la famille richissime sont invités quelques jours chez le président Brésilien.
Au frais de la princesse ? Sait-on jamais !
On apprend aussi que le premier ministre s’apprête à partir lui aussi dans un voyage de rêve de même que Borloo et autres.
Ou ?
Nous en saurons certainement plus ces jours ci de ces princes qui nous gouvernent et demande que nous nous serrons la ceinture devant une année 2009 qui sera, nous disent-ils en cœur, épouvantable: pour les petits certainement !
Une seule ministre est de faction et ne prendra pas tout de suite ces vacances : « la fée carabosse ».
Devinez-qui ?
Peut-être qu’elle aura le temps d’aller servir le vin chaud à tous les victimes de la politique Sarkosienne et de la droite et qui peuplent les bois prés de Calais où les bordures des périphériques des grandes villes.
Qui aurait pensé ; il y a quelques années, que "des hommes des bois" vivraient à nouveau dans nos forêts.
Vivement le 29 janvier 2009 ; vous savez, ce jour, où je l’espère vivement des millions de français vont ruer dans les brancards.
Bernard LAMIRAND
Il n’est pas dans mes intentions de considérer que les fêtes de fin d’année et de nouvelle année doivent se passer dans la grisaille parce que la crise s’installe dans le monde et particulièrement là où la misère règne comme un absolu.
Nous avons tous besoin de bonheur et de retrouvailles dans ces moments si précieux et qui font humanité.
Ces fêtes se passeront à la maison autour d’un bon repas pour ce qui me concerne avec mes enfants et petits enfants.
Mais je sais bien que pour beaucoup de famille dont les parents sont en chômage ces fêtes seront des moments pénibles et que dehors les rejetés de ce système auront encore plus froid.
A la télévision, tous les jours, on nous présente ces moments avec force de menus fait par des chefs renommés, d’hôtels de luxe, de voyages dans les iles tropicales.
Les vitrines de beaux magasins resplendissent avec toute sorte d’objets que peuvent s’offrir les riches.
Ceux-ci vont pouvoir dépenser des milliards d’euros et de dollars qu’ils auront pris indument par l’exploitation et la spéculation durant cette année 2008.
La plupart ayant mis leur butin à l’abri des errements de la bourse.
J’ai voulu faire cet article en entendant ce midi le Président de la république nous faire la leçon depuis le Brésil que nous devons travailler plus pour gagner plus.
Ce fils de riche n’a aucune pudeur de tenir ce discours au moment où ses amis mettent des centaines de milliers d’hommes et de femmes au chômage.
Les coups de menton au Brésil ne donneront pas de boulot sinon quelques commandes d’armement dont ce pays veut se doter ; en plein Noël, ces gavés, dont le cynisme n’a d’égal que leur vilenie, pourront écouter la messe de minuit et hypocritement s’agenouiller pour la paix dans le monde..
J’ai saisi à la télé que pour ces fortunés les fêtes de fin d’année se dérouleront comme si de rien n’était.
Ils s’en vont en vacances et dépenseront une partie de leurs magots au soleil.
Ils peuvent partir tranquille, la crise et ses moments d’effroi pour leurs portefeuilles est derrière eux puisque Sarkozy a renfloué leurs banques.
Les salariés paieront la note.
D’ailleurs ce gouvernement donne l’exemple : Sarkozy et sa dulcinée ainsi que la famille richissime sont invités quelques jours chez le président Brésilien.
Au frais de la princesse ? Sait-on jamais !
On apprend aussi que le premier ministre s’apprête à partir lui aussi dans un voyage de rêve de même que Borloo et autres.
Ou ?
Nous en saurons certainement plus ces jours ci de ces princes qui nous gouvernent et demande que nous nous serrons la ceinture devant une année 2009 qui sera, nous disent-ils en cœur, épouvantable: pour les petits certainement !
Une seule ministre est de faction et ne prendra pas tout de suite ces vacances : « la fée carabosse ».
Devinez-qui ?
Peut-être qu’elle aura le temps d’aller servir le vin chaud à tous les victimes de la politique Sarkosienne et de la droite et qui peuplent les bois prés de Calais où les bordures des périphériques des grandes villes.
Qui aurait pensé ; il y a quelques années, que "des hommes des bois" vivraient à nouveau dans nos forêts.
Vivement le 29 janvier 2009 ; vous savez, ce jour, où je l’espère vivement des millions de français vont ruer dans les brancards.
Bernard LAMIRAND