FIDEL ADIEU MON CAMARADE
Publié le 26 Novembre 2016
Je reprends ici le texte de mon camarade Canaille le rouge qui décrit bien ce que fut Castro et à quoi il eut à faire face de l'empire capitaliste américain.
Une grande et belle page du livre de l'émancipation humaine se tourne.
Publié le 26 Novembre 2016
le combat continu
« Hasta la victoria, siempre »
« Le commandant en chef de la Révolution cubaine est décédé à 22 h 29 ce soir », a annoncé Raul Castro en lisant une déclaration sur l’antenne de la télévision nationale.
" L’organisation de l’hommage funèbre qui lui sera donné sera précisée ultérieurement", a-t-il ajouté dans cette brève allocution conclue par la devise des révolutionnaires de la Sierra Maestra : : « Jusqu’à la victoire, toujours! » (« Hasta la victoria, siempre »), devenu de cri de ralliement de la Révolution cubaine.
Le plus surprenant n'est pas la disparition logique d'un homme arrivé au bout de son temps d'homme, un parcours-épopée qui a soulevé enthousiasme de plusieurs générations. Non, le plus surprenant , c'est qu'il ait pu parvenir à cette âge avancé entouré de tout un peuple, finir sa vie sereinement chez lui, lui qui aura certainement été la cible du plus grand nombre connu dans l'histoire de tentative d'assassinat de la part des forces impérialistes, leurs mafias, tueurs à gages et service spéciaux.
Le Figaro du 15 octobre 2007, reprenant une étude du Gardian fait état de "pas moins de 638 tentatives de meurtre, plus ou moins abouties, auraient été fomentées contre le Lider maximo" (sic).
Mais Cuba, c'est un bilan.
La réussite de Cuba comparée aux autres îles caribéennes témoigne de ce qu'a apporté à l'Ile le parti communiste de Cuba et, à sa direction, Fidel Castro lequel en faisant la révolution est devenu communiste.
Que ce soit en matière sociale, médicale, scolaire, culturelle, sportive, en matière de recherche, d'agronomie, malgré un blocus féroce qui pèsera et pèse toujours sur la vie quotidienne des Cubains le bila est là.
Dans le patio de l'impérialisme, David narguant et faisant de l'ombre à Goliath, La construction dans des conditions d'agression permanente d'un socialisme qui affiche ses réussites au delà de la chaîne de sympathie que construit en soit l'image est insupportable pour le capital et son impérialisme.
Maintenant que la droite par maurrassienne française s'est trouvée son champion, attendons nous à voir les révolutionnaires du Café de Flore, nos décatis guérilléros de la Sierra germanopratine défiler dans le fenestrons à mouliner les idées plates pour nous parler de dictature, eux dont les supports encensaient Batista, hurlaient "échec"pour ne pas voir la réalité des Antilles "françaises.
Nous allons voir la cohorte de ceux qui passant leur vacances à "St Barth" excursionnaient du côté de Duvallier à Haïti et l'hébergeaient en retour quand il dû précipitamment mettre les voiles venir nous parler de dictature. Attendons les commentaires de nos contempteurs du commando Marcos, ces soutiens du parti révolutionnaire fréquentable parce que..."institutionnel" du Mexique, ceux devenus Guévariste mais qu'après avoir lâcher un soupir de soulagement dès lors qu'il fut certains qu'il avait été assassiné.
D'onfray à Finkielbraut, les supports médiatiques et chiens de garde qui y sont affectés, nous allons voir qui accompagne, qui se démarque politiquement de ce qui fera la chiourme des redevables de l'impérialisme et qui pour être flatté acceptera d'être le kapo du trumpisme-fillonisme ambiant.